Ombra Bianca est publié en langue italienne par la maison d’édition OtaBenga, constituée par l’auteur essentiellement pour sensibiliser l’opinion publique sur les conditions de vie des africains albinos. Les recettes des ventes du roman seront utilisées pour continuer cette initiative.

Ombra Bianca, OtaBenga Editore, 2013, 320 pages

Ebook disponible dans Compra su Amazon
L’ebook a obtenu le macaron LIA pour l’accès des personnes non voyantes ou malvoyantes.
Il existe également une version de l’ebook avec une police qui facilite la lecture aux personnes dyslexiques.

Version papier disponible à 10 € (frais de ports inclus pour l’Italie).
La version papier est imprimée sur le papier ami des forêts FSC mixte et PEFC, non blanchie par le chlore. C’est la première imprimerie au monde – une entreprise italienne- alimentée uniquement à l’énergie solaire.

L’AUTEUR

Cristiano Gentili, 1973. Il a obtenu une maîtrise en sciences politiques (1997), un master européen en aides humanitaires (1998) et un doctorat de recherche en sciences sociales (2002). Il a travaillé dans les secteurs de la démocratisation, de la coopération au développement et à l’urgence humanitaire avec certaines organisations internationales en Europe, en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud pendant plus de dix ans. En 2011 il voyage en Tanzanie avec comme objectif de connaître sur le terrain la situation des albinos. A partir de ce moment là il décide de sensibiliser l’opinion publique sur les conditions de vie des africains atteint d’albinisme. En juillet 2013 il publie, de façon indépendante, le roman Ombre Blanche.

SINOPSISS

C’est une île, sur le lac Victoria, au coeur de l’Afrique, où ne sont pas arrivés les échos bruyants du tourisme; pas d’Hôtel de luxe ni de safari pour qui cherche où la relaxation ou l’aventure. Dans cette île, un jour, nait une petite fille, Adimu, à la couleur blanche et aux traits du visage africains, et cela déterminera pour toujours son existence infortunée. En effet c’est une enfant albinos, pour qui naître signifie être projetée dans un environnement hostile et ennemi. Malgré cela elle ne s’arrêtera jamais de chercher l’amour et l’amitié. Peu de personnes l’aimeront, beaucoup essaierons de l’emprisonner et de la tuer, pour bénéficier, selon les superstitions locales, des parties de son corps come fétiches porte-bonheurs. Ainsi la narration s’élargie à l’ensemble de la société de cette partie d’Afrique et s’entrecroise avec les histoires de nombreux autres personnages, qui fournissent une photographie suggestive et terrible de ce monde, divisé entre retard culturel et désir d’amélioration sociale.
L’auteur, en se référant aux épisodes réellement produits, construit un personnage dont il va dévoiler tous les replis de l’âme et qui s’enchevêtrent avec les évènements comme dans un thriller à couper le souffle. Qu’arrivera-t-il à la petite fille? Quel sera son destin?
Ce roman est l’histoire non seulement de situations terrifiantes et émouvantes dans une réalité totalement discriminante mais il s’agit d’une recherche du sens profond de la vie.

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